Overblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Pays Verti Prose posée perd ce qui casse

Fink Less 1

Junin
Fink Less 1

Etions dans les terre au large de cette mer noir qui trempe a Sozopol_

Prenions des vacances mérité après les sempiternels partiel qui engosse dans la torpeur de charrette grouillante les douces soirées de primptemps, tout d’arbre bourgeonnant et de hanches dodelinants .Sommes descendus cap Est, sur les hauteurs de la petite bourgade mangé par la mer_ Le vieux village côté falaise étendait son urbanité jusqu’en surplomb de l’eau qui léchait à cinq cent mètres plus bas deux plages coupé par un piton rocheux, nivelée en route et plan cadastraux, un port trempait plus à l’Est en méandres granitiques occupé d’une base para-privé en son extrémité asphalté.

Ma main bagousé en permanence sur ses fesses rondes à souhait, Charlotte m’accompagnait jusque dans la petite datcha archaïque et confortable, mes dernières phalanges caressant sa raie bouclé jusqu'à la frayeur d’un rôt annale.

A l’aurore du cinq juillet descendîmes au village coursé aliment et pq dans la traban tuné d’Ivan ; et une fois fait, l’ai mis dans la dense forêt de bouleau, ma teub plugué dans sa fourche échaudé. .Son bouquet fleurie d’orgasme fit gonflé le feuillage d’un hêtre jaune confortable de tronc ou ses mains apposé reposaient.. Cette fois ai pris mon tour de râle en mon pieux introspectif_ inspectant par à-coup pointilleux caverne annale et vaginale , les maquillant de mon pistil godinique.

Pas contente/écœurée d’avoir enduré ma flébite elle me claqua une éstafilade à dix-huit carats sur la pommette gauche et gagna l’ex taxi jaune périmé pour moucher les parties enrhumé de mon foutre. La peur d’une grossesse de forme l’enquiquinait au point de m’épargné toute culpabilité sur un hypothétique boursouflure et de signer ma perf ’en toute quiétude.

‘Lotte démara brutalement la traban envictuaïhé et me quitta sans autre dire, poussant à la marche forcé a travers la brousse du coup m’asstreignant à m’en rouler un..

 

‘Suis la pente douce mouillé du pelage bruni qui dégringole encore bercé de courte brise chaude.

Sous mes pas les feuilles craquent, mes bourses collent et en volutes bleuâtre, mes rêveries s’emballe, installe son vague jusqu’à un méandre qui arrive à ma rencontre _m’arrête sur un rocher pour soufflé un déséquilibre qui menace.

Des yeux fouillent les broussailles chauves quand d’un son d’eau je tends l’oreille. Au centre de la grande surface ondé, une belle silhouette éberlué et cuivré semble des mains tendues sondées le relief sous cutané liquide.

Des bulles éclatant à trois bras sur sa gauche attire son attention , puis bascule des épaules à la rencontre de l’artefact et en révèle une mobylette qu’elle peine à tirer. Plonge à mon tour mes jambes pour extirper l’engin ; et rien d’incongrues me frappe plus que le naturel de cette femme quasi nue qui pèse sur le guidon boueux. .

Je me vois tendre mes paumes dans l’eau pour en laver la meule de la gadoue qui l’enrobe, mais mon regard reste bloqué sur ce sublime popotin .

La mob est replète et de sous mon futal collant d’eau émerge de ma braguette le périscope de mes couille, je m’arrète quand je l’aperçois palpitant et lève la tête vers le visage de la nymphette .

Les yeux exorbité sur l‘engin, une petite langue rose entrouvre ses lèvres,

 

 

1 . elle fouille sa hanche et en sort une petite boule orangée et me la tend.

Spontanément j’enquille la pilule et déglutie

 

2. Attrape mon cou et d’une pression du doigt et de l’ongle sur la chair de poule de ma nuque, je sens la morsure d’une plaie . Elle y jette ses lèvres pulpeuse, et quand elle susonne et sens la plaie cicatrisée presque instantanément, alors qu’une sorte d’onde nerveuse s’insinue vers l’arrière de mon crane .

Plus bas mon braque se marre, un spasme m’attaque

 

 

quand je sens sa main empoignant ma stupeur : son large sourire ondule vers un rire cristallin, m’entraine vers plus de profondeur d’eaux limoneuses, elle m’enlace … des faucettes, maligne, apparaissent au cœur de ses joues, comme ma bite au sein de sa croix, elle roule des yeux au septième coup de pistons ma gorge étrangle un rale ma tête explose coule quand mes épaules s’épanche … elle, elle enchasse le bout du pète dans sa lipe, tire jusqu’au toncar, la recrache dans une grosse bulle de salive qui crève arrivé aux première frondaisons, puis elle s’écarte gloussant poussant la meule.

 

Me leve cul sec pour pousser ses hanches humides et rebondies sur la selle chuinteuse sans émettre aucune question, constatant qu’en suite seulement le braquemart encore tendu vers la silhouette qui pétarade entre les arches de hêtres épileptiques. Me sens dégoulinant, et quoi , allume une sèche, logiquement (merci Rodoppie) ; en entravant ce court filet de temps qui s’est écoulé en en objectant sa réalité ? Je reconnais alors seulement la ulitza qui monte vers chez moi.

 

Monte a l’étage dans l’ambiance orageuse pour évoqué l’étrange péripétie qui m’a trempé. ’Lotte hoche toujours, railleuse, tandis que ses bras tirent mon fute dé-goulinant sur le bois du plancher. L’attrape par les hanches pour assouvire la faim qui m’astreignant quand j’y pensa, l’assouvit par derrière jusqu'à lui pourlécher la douille en guise d’excuse.

Sa tignasse chatoyante sur ma peau stomacale, entre-coupant de longue inhalation parfumé, elle me conta alors l’accident qui tua en l’endroit il y a quelques jours, un pépé sans jamais retrouver sa si connue 103 .

Le vieux Deltchev pantelant cardiaque sur le bas côté sans une moindre quelconque trace de pneu ou même d’accident. Pour cause de mort du propriétaire, la rivière proche n’avait pas été dragué, et de sa bécane, tout le monde s’en foutait.

 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :